La pornographie n’a pas su protéger certaines jeunes femmes et jeunes hommes des dérives qu’elle peut entrainer. Dans l’affaire “French Bukkake”, la Justice française reconnait enfin les violences subies en les rattachant à plusieurs titres d’accusation graves : viols aggravés de sexisme et de racisme, proxénétisme et exploitation sexuelle… Toutefois certaines circonstances aggravantes n’ont toujours pas été reconnues, dont les actes de torture et de barbarie subis. Il reviendra aux Assises de trancher sur ce point.
Mais les navigateurs de recherche doivent aussi agir pour protéger ces personnes. Aux côtés des associations féministes et de soutien aux victimes, Eva Sas appelle à retirer les vidéos encore en circulation mentionnées dans cette affaire. La députée salue également le courage des parties civiles et se tient aux côtés des victimes.